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Amandine L.

Interview de la société EXALTAK, partenaire de l’association.


Bonjour, en quelques mots, qui êtes-vous ? Que fait la société EXALTAK ?


Bonjour !   Je suis Pascal WEBER, 53 ans, fondateur de la SAS EXALTAK. Je suis ravi de partager avec vous aujourd'hui notre vision et notre engagement envers les domaines de l'imagerie en passant par une gamme variée de services allant de la conception de sites internet, la réalisation graphique de rondaches, la formation de télépilotes de drone civil et autres formations professionnelles puisque nous sommes enregistrés comme Centre de Formation. Nous sommes multicartes. Le siège de notre jeune société est à Toulouse et nous rayonnons sur l’ensemble du territoire.  Nous avons redéfini l'imagerie aérienne en offrant des solutions innovantes et des services de pointe. Que ce soit pour des projets de cartographie, d'inspection industrielle ou pour sublimer des événements grâce à des prises de vue époustouflantes, nos drones de dernière génération capturent l'instant sous un angle inédit. Bien entendu, nous traitons aussi les images terrestres et sous-marines. Nous sommes complètement autonomes sur un projet vidéo et, de manière générale, sur l’ensemble des spectres des projets de communication.




D’où vient le nom de votre société ?


Je voulais avoir un nom « qui va bien », un nom qui fait « percuter » et qui met tout de suite dans le bain. Le nom « EXALTAK » est la contraction de « EXALTATION TACTIQUE ».  Je vous l’accorde, c’est un nom limite agressif mais c’est volontaire. C’est une façon d’annoncer la couleur à nos clients. Je suis venu à la communication de manière naturelle par mon expérience de vie tant chez les militaires que chez les civils. Je me suis rendu-compte que les messages les plus simples sont (très) souvent les meilleurs. Un message simple a beaucoup plus de chance d’être compris et interprété sans trop de dilution. C’est le cas pour le nom d’EXALTAK : un nom, trois syllabes et une vision !

En fait, je n’ai rien inventé du tout ! Je me suis juste inspiré de la méthode militaire, du bon sens et du système D !

Pour être carré, mais aussi pour me rassurer, je suis allé suivre une formation à l’école de l’image Gobelins à Paris…


Quels sont vos liens avec la Marine Nationale ?



Mon lien est avant tout affectif puisque j’y ai servi, il y a très longtemps ! J’étais embarqué sur le BCR « MARNE » à Djibouti (ALINDIEN). Mon père était marin d’état, j’ai donc toujours évolué dans l’environnement Marine. La Royale m’a appris la rigueur, la confiance, l’esprit d’équipage. Dernièrement, j’étais en Corse et je me revoyais, avec un brin de nostalgie, en 1987 à effectuer mes premières plongées à Aspretto … C’était hier ! La Marine est une formidable école de la vie qui m’a appris qu’il faut toujours doubler les choses parfois même les tripler, pour éviter les déconvenues. La mer ne pardonne pas ! Par la suite, cela n’a pas empêché que je devienne militaire de la gendarmerie ! Il m’a fallut un temps de réadaptation puisque sans pratiquement aucune interruption je quittais le bachis pour le képi…


Qu'est-ce qui vous a motivé à vous engager envers l'association du Souvenir Amiral Pierre Ponchardier ?


J’ai fait la connaissance du président de cette association, Michel ZANNELLI, il y a quelques années.  J’étais alors le chargé de communication de Christophe Papillon pour sa traversée de l’atlantique et sa traversée de l’Antarctique. Christophe Papillon œuvrait pour récolter des fonds pour les veuves et orphelins de guerre de notre armée. L’association des « Ponch » était présente dès le début des aventures Papillon et apportait un soutien à Christophe.  J’ai immédiatement accroché avec Michel. Les aventures de Christophe Papillon, sur 3 ans, ont permis de récolter plus de 100 000 euros qui ont été répartis vers diverses œuvres sociales des armées (Terre/Air/Mer & Gendarmerie). En fait, votre question ne me plait pas puisque je me suis engagé nulle part. C’est une question d’hommes, de valeurs, de causes. Michel a toujours fait ce qu’il dit et dit ce qu’il fait, je n’ai rencontré aucune difficulté à accrocher au dit concept ! De plus, je suis un passionné d’histoire militaire et c’est un très grand volet de l’association du souvenir Amiral Pierre Ponchardier. J’y ai appris beaucoup de choses concernant les origines de nos commandos… C’est primordial de ne jamais oublier d’où on vient pour savoir où l’on va !



Chez EXALTAK, nous croyons fermement en l'importance de soutenir des causes qui ont un impact positif sur la société. Nous l’affichons clairement sur le site de notre société. L'association du Souvenir Amiral Pierre Ponchardier est une association admirable qui mérite tout notre soutien, c'est pourquoi nous avons décidé de nous engager activement à ses côtés, tout en offrant gracieusement nos services.


Comment votre société soutient-elle l'association du Souvenir Amiral Pierre Ponchardier ?


Nous apportons notre soutien à l'association du Souvenir Amiral Pierre Ponchardier de différentes manières. Nous mettons à disposition de l’association notre « petit savoir » en matière de communication au travers de la conception de leur site internet, de conseils, de réalisation vidéo afin de promouvoir leurs initiatives et sensibiliser le public à sa cause. De plus, nous proposons et réalisons également des rondaches personnalisées pour aider à renforcer l'identité visuelle de l'association et à promouvoir son message. Ce fut le cas dernièrement avec la création de la rondache « Spirit of children’s » qui est une belle action qui a pour but de récolter des fonds pour les orphelins des fusiliers marins commandos.


Quels sont les bénéfices que vous espérez voir résultant de votre engagement envers cette association ?


Nous espérons pouvoir contribuer de manière significative à l'accomplissement des missions de l'association. En nous associant à cette noble cause, nous souhaitons également sensibiliser notre communauté et inspirer d'autres entreprises à s'engager socialement…


Je suis un homme de terrain. Un agent de liaison ayant la possibilité de mettre en contact des milieux n’ayant pas toujours de raison de se connecter. C’est ainsi que j’ai mis le pied à l’étrier de l’association du souvenir Amiral Pierre Ponchardier sur un projet d’évènement à destination des orphelins interarmes. Ce projet, sous la direction de l’association gendarmerie « Les Képis Pescalunes », s’appellera « PAPILLON-PLAN C ». Pour le moment, nous finalisons ce projet et nous vous en parlerons prochainement.

J’ai omis de vous préciser que je suis, aussi, le chargé de communication de « Képis Pescalunes ».


Je souhaite mettre à disposition nos compétences pour être porteur de valeurs fortes et diffuser auprès des adultes de demain les perspectives d’une orientation riche de promesses et d’engagements. Permettre à notre jeunesse, à nos orphelins, de trouver ce « supplément d’âme » qui fait que l’on se sent lié et partie prenante d’un destin plus grand que le sien. Permettre à ces jeunes gens de se dépasser et de participer activement à l’élaboration de leur futur où chacun peut s’affirmer en tant que femme ou homme d’aujourd’hui et de demain…







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